Plusieurs pays, ONG, et associations se sont réunis dans le cadre de la COP 22 autour de l’Initiative 4 pour 1000, pour définir les axes stratégiques de soutien aux initiatives agissant concrètement en faveur du stockage du carbone dans les sols.
Depuis des années, FCA Fertilisants soutient l’initiative 4 pour 1000, en proposant des solutions de fertilisation éco-alternative au Calkorium et au Calkonutrium. Ces solutions riches en prémix précurseur de l’activité microbiologique des sols et en pool microbien bénéfique à la transformation de la matière organique. Aujourd’hui FCA Fertilisants a le privilège de devenir membre et partenaire du mouvement ! Voir la liste des membres.
Un partenariat officiel
Les entreprises de l’Initiative mettent en place des actions permettant le stockage du carbone dans les sols, réduisant ainsi la concentration de CO2 dans l’air, responsable du réchauffement climatique. En devenant membre et partenaire de ce mouvement, FCA Fertilisants s’engage à poursuivre ses actions visant la réduction du CO2 liée aux activités humaines dans l’atmosphère.
L’Initiative 4 pour 1000 : un enjeu global
Augmenter la quantité de carbone stocké dans les sols est un enjeu majeur mondial pour :
- Lutter contre le réchauffement climatique
- Assurer la productivité agricole, synonyme de sécurité alimentaire pour les 9 milliards d’êtres humains d’ici 2050.
L’une des causes de l’effet de serre et de l’accélération du réchauffement climatique est l’émission de CO2 liée aux activités humaines.
Le pouvoir de la photosynthèse
Environ 30 % de ce gaz carbonique est capté grâce à la photosynthèse des plantes. En se décomposant sous l’influence des organismes du sol (vers de terre, champignons, bactéries…) cette masse végétale se transforme et vient alimenter le pouvoir tampon des sols sous forme d’humus.
Constituant essentiel du complexe argilo-humique (le réservoir du sol), il augmente la rétention en eau, en éléments minéraux et participe à la structuration des sols et à la croissance des plantes. L’humus est donc le premier maillon d’une chaîne qui va jusqu’à l’alimentation humaine.
Augmenter le taux de matière organique dans le sol
En augmentant de 0.4 % les stocks de carbone du sol, c’est-à-dire le taux de matière organique sur les 30 à 40 premiers centimètres du sol, la concentration de CO2 de l’atmosphère serait considérablement réduite et participerait au respect de l’objectif de limiter la hausse des températures à + 2 °C. C’est au-delà de ce seuil que le GIEC considère que le changement climatique deviendrait très significatif.